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« Impossible de partager durablement la valeur sans partager la gouvernance » P. Ferracci Groupe Alpha

News Tank RH - Paris - Actualité n°245834 - Publié le 24/03/2022 à 18:49
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©  D.R.
De H en B : Antoine Frérot, Olivier Favereau, Dominique Carlac’h, Pierre Ferraci, Marylise Léon. - ©  D.R.

« La codétermination dans l’entreprise, c’est deux choses : une présence non-symbolique des administrateurs salariés dans les conseils d’administration et de surveillance (de 30 à 50 %) et des prérogatives importantes pour les salariés en matière d’organisation du travail », déclare Olivier Favereau Professeur agrégé de sciences économiques @ Service de la formation continue de l’université de Nanterre - Paris X
, économiste et ancien Co-directeur du département « Économie et Société » du collège des Bernardins, lors de la table-ronde intitulée « Protéger la planète, assurer la sécurité des salariés et la compétitivité de l’entreprise : quelle gouvernance pour construire les équilibres de demain ? » . Cette table-ronde se tient dans le cadre de la deuxième édition de l’événement « Débats d’aujourd’hui, transformations de demain », organisée par le Groupe Alpha le 17/03/2022.

« Les deux véritables parties prenantes dans l’entreprise sont les salariés et les actionnaires. En matière de codétermination, je pense qu’une représentation d’un tiers des administrateurs pour représenter les actionnaires, un tiers pour représenter les salariés et pourquoi pas, pour aller plus loin, un autre tiers qui représenterait le reste ? Je crois assez à la prise en compte d’autres éléments que le profit. », déclare Pierre Ferracci Président @ Paris FC (PFC) • Président-fondateur @ Groupe Alpha
, président du Groupe Alpha. « Je suis persuadé qu’on ne peut pas durablement partager la valeur si on ne partage pas la gouvernance. »

« Le changement de composition d’un conseil d’administration change la posture et le positionnement de tous les administrateurs et du directeur général, » déclare Marylise Léon Secrétaire générale @ CFDT
, secrétaire générale adjointe de la CFDT. « Je pense que nous aurions d’abord besoin d’une étape et d’une acculturation à un meilleur dialogue et à un meilleur débat entre actionnaires et représentants des salariés ».

« Il y a un point technique qu’il va falloir que nous résolvions : les administrateurs salariés ont de grandes difficultés à rendre compte à ceux qui les ont mandatés, parce que les débats d’un conseil d’administration sont confidentiels et que les autres administrateurs ne veulent pas qu’ils racontent ce qu’il s’y passe. Il faut que nous trouvions une voie pour qu’ils puissent rendre compte sans trop dévoiler, » indique Antoine Frérot Président Directeur Général @ Groupe Veolia
, PDG du Groupe Veolia.


- Dominique Carlac’h, vice-présidente et porte-parole du Mouvement des entreprises de France (Medef) ;

- Antoine Frerot, président-directeur général de Veolia et président de l’Institut de l’Entreprise ;

- Olivier Favereau, économiste, professeur des Universités ;

- Marylise Léon, secrétaire générale adjointe de la Confédération française démocratique du travail (CFDT).

Avec la participation de  Pierre Ferracci, président du Groupe Alpha.

« Prendre en compte d’autres éléments que le profit » (Pierre Ferracci)

Pierre Ferracci. - ©  D.R.

« 13 pays de l’Union Européenne sur 27 ont aujourd’hui au moins un tiers de leurs salariés au sein de leur conseil d’administration. Il serait bon que la France soit le 14e pays dans ce cas, contre 13 % d’administrateurs représentants les salariés, en moyenne aujourd’hui. . Ces 13 pays situés principalement en Europe du Nord et en Europe centrale affichent de bons résultats économiques et leurs entreprises ne sont pas handicapées, loin de là, par cette présence des salariés dans leurs CA Conseil d’Administration . »

« Je ne suis pas sûr que Milton Friedman (Prix Nobel d’économie, fondateur de l’école de Chicago) ait totalement disparu et que son ombre ne pèse pas encore sur la gestion de beaucoup d’entreprises en France et dans le monde, mais il est vrai que les dimensions environnementales et sociales sont mieux prises en compte, » observe Pierre Ferracci, président du Groupe Alpha.

En revanche, « je ne crois pas trop à la systématisation de l’actionnariat salarié, » dit Pierre Ferracci, « La relation au capital est une relation au risque et une relation individuelle. Tous les salariés ne vont pas avoir envie de participer, peut-être parce qu’ils vivent d’autres risques à côté de celui d’actionnaire. Je distingue donc les salariés des salariés actionnaires. Un tiers chacun, cela serait bien. »

« Faire entendre la voix des salariés sur les enjeux environnementaux »

« Il s’agit de se dire que les salariés ont le droit, et même le devoir de participer aux grandes décisions stratégiques et aux grandes décisions d’organisation pas seulement dans leur qualité de salarié, mais parce qu’ils ont des risques à gérer d’une autre nature que ceux des actionnaires et que leur voix peut être entendue. Je pense que sur les enjeux environnementaux, et pas seulement sur les enjeux sociaux, la voix des salariés peut peser parfois davantage que la voix de certains managers ou que certains actionnaires, qui ont une vision du rôle de l’entreprise sur la protection de la planète peut-être un peu archaïque. Je crois qu’il est possible de trouver un équilibre », indique Pierre Ferracci

« Une codétermination à la française » (Marylise Léon)

Marilyse Léon - ©  D.R.

« Dans une enquête sur le travail que nous avons menée en 2016, plus de 65 % des répondants indiquaient aimer leur travail, y être attaché et aimer leur entreprise sans que tout ne soit parfait pour autant. 94 % des répondants disaient pouvoir participer plus et mieux aux décisions qui les concernent au travail. Nous nous sommes donc dit qu’il y avait un sujet.

C’était en 2016, nous étions en plein changement des règles du dialogue social d’entreprise et nous nous sommes dit que nous allions essayer de nous décaler un peu. En ce qui concerne la démocratie au travail, est-ce que nous sommes dans un cadre satisfaisant d’organisation d’une démocratie représentative au travail ? Comment articulons-nous le Comité d’entreprise et la gouvernance pour obtenir un réel débat sur les orientations stratégiques de l’entreprise, en étant clair sur qui décide ?

Nous avions, de façon assez peu originale, abouti sur ce que nous avions appelé une codétermination à la française. C’est-à-dire : comment recréer et requestionner les instances représentatives du personnel ainsi que l’utilisation des outils qu’elles ont à disposition ? Comment permettre aux instances de gouvernance et aux instances représentatives de dialoguer utilement ?

L’idée est que, dans les Conseils d’administration, il puisse y avoir un regard apporté par les administrateurs salariés sur ce qu’est la réalité du travail dans l’entreprise et donc un équilibre entre capital et travail, » observe Marilyse Léon, secrétaire générale adjointe de la CFDT.

« Cela demande un changement culturel du côté syndical »

« Pour l’avoir observé et vécu, parce que j’ai notamment contribué à animer le réseau des administrateurs CFDT, cela demande un changement culturel côté syndical. Être administrateur salarié n’a rien à voir avec le fait d’être représentant. Cela pose des questions techniques, des questions de positionnement et de relation aux salariés. C’est une vraie révolution, » ajoute la secrétaire générale adjointe de la CFDT.

« Être administrateur salarié est un exercice solitaire »

« Quand des débats fuitent à l’extérieur d’un conseil d’administration, le premier suspect est l’administrateur salarié. C’est une chose que de nombreux administrateurs salariés CFDT ont eu à vivre et qui sont particulièrement désagréables. Il y a également le cas des administrateurs jugés sérieux, et les autres. Certains vont être acceptés au sein des comités quand on va expliquer à d’autres que ce n’est pas tout à fait leur rôle.

Enfin, certains administrateurs ont découvert qu’ils n’étaient pas convoqués à la même heure que les autres et qu’il y avait des pré-réunions. L’accompagnement par les organisations syndicales est fondamental, pour qu’ils prennent soin qu’ils aient accès à la formation et soient accompagnés au quotidien. C’est un exercice solitaire, » déclare Marilyse Léon.

« L’entreprise est utile à produire et à servir toutes les parties prenantes » (Antoine Frérot)

Antoine Frérot - ©  D.R.

« Une entreprise, c’est l’association, au point de départ, d’une série de personnes : des gens qui ont une idée, qui apportent leur travail, leur capital de travail ou des fonds, des clients qui ont besoin de ces activités, des fournisseurs et des territoires qui veulent les accueillir. C’est un nœud de relation d’une série de parties prenantes, et pas seulement du capital et du travail.

Les actionnaires ne sont pas les seules à prendre à des risques.

Toutes les parties prenantes prennent des risques de nature différente et d’ampleur différente.

  • Les actionnaires risquent de perdre leur argent définitivement, mais les salariés risquent de perdre leur emploi, leur retraite.
  • Les clients peuvent, après avoir versé des avances, perdre et les fournisseurs aussi.
  • Les territoires qui investissent dans les infrastructures pour l’accueillir ont le bec dans l’eau si l’entreprise s’en va.

L’entreprise est utile à toutes ces parties prenantes. Et c’est parce qu’elle est utile qu’elle est prospère pour les actionnaires et non l’inverse, comme le disait Friedman.

Dès lors que c’est cette utilité plurielle qui définit l’entreprise, la notion de pouvoir doit être regardée à travers cette pluralité. Si l’entreprise est utile à une série de parties prenantes, il faut que cette utilité soit mesurée. C’est en fonction de cela qu’on permettra de juger de la performance de l’entreprise. Dès lors que la performance est plurielle, il est logique que l’endroit où on y prend les décisions reflète cette pluralité.

Il est donc logique, peut-être en fonction des niveaux de risque, que soient présents au conseil d’administration des gens qui reflètent la pluralité des parties prenantes de l’entreprise, » déclare Antoine Frérot, PDG du Groupe Veolia.

« Aller plus loin sur la participation »

« La participation des salariés aux organes de direction ou d’administration est nécessaire. Il y a deux administrateurs salariés sur onze chez Veolia, et ils apportent réellement quelque chose. Cela va dans les deux sens, car ils s’adressent à leur mandant afin de leur expliquer comment fonctionne l’entreprise. Nous pourrions néanmoins aller plus loin.

Je prends l’exemple des ONG Organisation non gouvernementale  : si la fédération des sociétés de protection de la nature en France avait un représentant chez nous, je suis persuadé que nos relations avec les ONG et la compréhension des autres administrateurs, y compris ceux qui représentent des actionnaires, serait différente. Ce que nous recherchons, à travers cela, c’est une entreprise plus harmonieuse, plus équilibrée dans ses prises de décision, en prenant bien en compte l’ensemble des enjeux de l’utilité de l’entreprise, » ajoute-t-il.

« L’entreprise est devenue protectrice » (Dominique Carlac’h)

Dominique Carlac’h. - ©  D.R.

« La crise a révélé une autre théorie économique : celle du “réencastrement” de l’entreprise dans la société. Peut-être que la théorie des Écoles de Chicago et de Friedman avait éloigné l’entreprise de la société. Il se trouve que dans une crise majeure, comme l’a été la pandémie de Covid-19, l’entreprise est peut-être devenue un peu protectrice.

Au Medef, nous avons fait différentes études pour révéler la perception de l’entreprise par les salariés comparativement à la perception de l’État. Nous nous sommes rendu compte qu’en cinq ans, nous avons gagné vingt points confiance en l’entreprise, car la raison d’être de l’entreprise a été enfin révélée au grand public. Ce qui peut interroger quand on a dit ça, c’est la question du pouvoir », déclare Dominique Carlac’h, vice-présidente et porte-parole du Medef.

« Il ne faut jamais oublier la prise de risque »

« Dès lors que nous passons de la conception de la raison de l’entreprise de l’École de Chicago à une raison d’être selon laquelle il y a des parties prenantes qui contribuent à la création de valeurs, il faut que tout le monde puisse contribuer à l’élaboration de la stratégie, à sa conduite, à sa mise en œuvre et, in fine, à une partie du partage.

Mais ce n’est pas parce qu’on contribue que l’on décide. Il n’y a pas forcément une loi mathématique corrélée entre le fait de contribuer tous les jours et celui d’obtenir une certaine forme d’équilibre, d’égalité et de parité dans la décision. C’est là où il ne faut pas tomber dans le schéma qui serait caricatural selon lequel, de ce fait, il y aurait un problème de démocratie dans les entreprises. Je pense justement que la crise a été vraiment révélatrice de la vivacité, du dialogue social et de sa positivité.

Le débat est-il de vouloir faire progresser la part des parties constituantes en termes de pourcentage plus élevé et plus réparti, ou plutôt de réfléchir à la façon d’intégrer davantage les parties prenantes dans la gouvernance ? Ce n’est alors plus une question de pourcentage et de pouvoir, mais de vision et de construction stratégique, » ajoute Dominique Carlac’h.

« Il y a un point qui est la cohérence entre le partage de la valeur, la création de la valeur et la prise de risque, » indique Dominique Carlac’h, vice-présidente et porte-parole du Medef. « Il ne faut jamais oublier ce point, car la prise de risque et sa gestion, c’est la pérennité. Anticiper les risques, les mesurer et les absorber, c’est aussi la pérennité - et donc celle du capital humain d’une entreprise qui est constitué du dirigeant et des salariés. »

« Davantage de pédagogie sur l’actionnariat salarié »

« Il faut faire énormément de pédagogie sur l’actionnariat salarié. En France, je crois que la moitié des salariés peuvent y accéder. Nous avons donc une marge de manœuvre et de progrès immense, beaucoup dans les petites entreprises. Le rôle du Medef est justement de faire de la pédagogie sur cet actionnariat salarié. Le levier est trop faible, avec seulement une moitié des salariés qui peut y accéder. Comment emmener les salariés sur l’amélioration de la performance de l’entreprise ou la vision si de toute façon cela n’est pas proposé ? Dans la plateforme présidentielle, que le Medef propose dans le cadre des élections présidentielles, nous avons proposé d’intensifier cet actionnariat salarié avec des critères qui soient associés à la performance de l’entreprise, à sa croissance, à son développement et à son bénéfice, » indique-t-elle.

« La codétermination, une réhabilitation du travail dans le fonctionnement de l’entreprise » (Olivier Favereau)

Olivier Favereau. - ©  D.R.

« Je fais deux constats au sujet de la crise sanitaire, que je vais les rattacher très directement à la question de la gouvernance des entreprises, en particulier dans le sens de la codétermination.

Ce qui m’a d’abord interpellé, c’est l’impressionnante remontée en visibilité des travaux manuels ou d’exécution.

La deuxième chose, c’est le changement de regard que nous devons porter sur la relation entre le travail qui coordonne et le travail qui fait. Je vais prendre le cas de l’hôpital : nous avons découvert, à l’occasion de l’extraordinaire coup d’accélérateur du travail mené à la base à l’hôpital, à quel point ce qu’ils font n’est non seulement pas aidé par ceux qui sont censés les gérer, mais gêné, » indique Olivier Favereau, économiste et professeur des universités.

« La codétermination, c’est la réhabilitation du travail dans le fonctionnement de l’entreprise. »

« Nous ne savons plus ce qu’est l’entreprise »

« Nous avons découvert, au cours des douze dernières années, que nous ne savons plus ce qu’est l’entreprise. Nous avons été intoxiqués par la théorie de la finance et la théorie des contrats en provenance de l’école de Chicago, selon laquelle les actionnaires sont propriétaires de l’entreprise et que c’est pour les actionnaires que l’entreprise doit respecter la loi et créer de la valeur. Or, nous avons découvert que c’est une double erreur :

  • Premièrement, cela oublie la distinction entre la société et l’entreprise. La société est l’être juridique. L’entreprise, le terme n’est d’ailleurs pas bien stabilisé, est l’organisation économique avec sa multitude presque indéfinie de parties prenantes. Or on ne peut pas être propriétaire de quelque chose qui n’est pas bien défini en droit, et qui serait l’entreprise. Les actionnaires sont-ils alors propriétaires de la société ? La société est une personne et dans notre société nulle ne saurait se dire propriétaire d’une personne.
  • Le langage de la propriété est totalement inadéquat pour parler du couple société-entreprise. Le langage approprié est celui du pouvoir, presque au sens du droit public. Les actionnaires ont des pouvoirs parfaitement légitimes, bien circonscrits par le droit des sociétés, l’employeur a des pouvoirs parfaitement légitimes, bien circonscrits par le droit du travail.

Cela a une conséquence sur la gouvernance, dont le problème change complètement de dimension : cela devient le problème général de la relation entre la société, être de droit, et l’organisation économique. C’est un problème énorme, d’une très grande complexité et qui a des prolongements notamment d’un point de vue politique. Songez que les salariés ne font pas partie de la société, alors que sans les salariés : il n’y a pas d’entreprise. »

« Il n’y a donc pas besoin d’être un spécialiste de sciences politiques pour dire qu’il y a un problème politique qui interroge la théorie de la démocratie au sens le plus fort du terme, » ajoute Olivier Favereau.

« Distinguer partie prenante et partie constituante »

« Je pense qu’il y a une question de fond et de pratique dès que nous nous posons la question de qui doit faire partie du Conseil d’administration et de comment les choisir parmi l’ensemble des gens qu’ils pourraient représenter :

  • Les salariés travaillent dans l’entreprise, ils sont sur les effectifs, nous pouvons les faire voter ;
  • Les actionnaires, nous les faisons voter ;
  • Quant aux représentants de la nature, par exemple, qui va les choisir ? Ils s’auto-désignent ? L’entreprise choisit ? Il faut organiser une consultation électorale parmi les ONG ?

Nous sommes devant une distinction qu’il faut faire entre “parties prenantes” et “parties constituantes” . Je ne suis pas vraiment d’accord avec l’idée de présenter le salarié comme une partie constituante de l’entreprise. Le client est une partie prenante. La protection de la nature, de l’environnement et peut-être même des clients, c’est une responsabilité de plus pour les parties constituantes existantes. Il ne s’agit pas de parties constituantes.

Nous allons nous pencher sur un conseil d’administration ou de surveillance un peu standard où il y a essentiellement les représentants des actionnaires. Mettons-nous à la place du dirigeant : quels sont les critères d’évaluation qui par nécessité vont s’imposer à lui ?

Imaginons maintenant que le même dirigeant soit devant un conseil d’administration ou de surveillance avec une moitié de représentants du capital et une moitié de représentants du travail. La fonction du dirigeant change immédiatement, sinon de statut au moins de stature. Le patron devient celui qui doit faire émerger l’intérêt de l’entreprise alors qu’avant, les critères de la société, par exemple financiers, allaient s’imposer, » déclare Olivier Favereau.

Antoine Frérot


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Parcours

Groupe Veolia
Président Directeur Général
Veolia Environnement
directeur général adjoint et membre du comité exécutif
Véolia Eau
Directeur général
La Connex, division transport du groupe Vivendi Environnement
Directeur général
Vivendi Environnement
Membre du directoire

Établissement & diplôme

Ecole Polytechnique
Ecole Polytechnique

Fiche n° 32202, créée le 30/07/2018 à 15:11 - MàJ le 30/07/2018 à 15:39

Dominique Carlac’h


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Parcours

Agence nationale du Sport
Vice-présidente
Fédération Française d’Athlétisme (FFA)
Vice-présidente
Mouvement des entreprises de France (Medef)
Porte-parole et vice-présidente
Fédération Française d’Athlétisme (FFA)
Membre du Bureau fédéral
Association des conseils en innovation
Présidente d’honneur
Mouvement des entreprises de France (Medef)
Présidente du comité Sport
D&Consultants
Présidente
Association des conseils en innovation
Présidente
Association des conseils en innovation
Vice-présidente

Établissement & diplôme

Sciences Po Grenoble (IEP Grenoble)
Diplômée

Fiche n° 29607, créée le 22/03/2018 à 10:24 - MàJ le 25/05/2023 à 16:40

Marylise Léon


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Parcours

CFDT
Secrétaire générale

Établissement & diplôme

Université
DESS Qualité chimique et biologique des atmosphères

Fiche n° 28037, créée le 11/01/2018 à 17:07 - MàJ le 03/12/2024 à 14:51

Pierre Ferracci


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Parcours

Paris FC (PFC)
Président
Groupe Alpha
Président-fondateur
Label « Campus des métiers et des qualifications »
Président du groupe d’experts constitué pour l’examen des projets
Conseil national éducation économie (CNEE)
Président (sur nomination du ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche)

Fiche n° 27023, créée le 15/11/2017 à 11:34 - MàJ le 16/04/2021 à 19:30

Olivier Favereau


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Parcours

Service de la formation continue de l’université de Nanterre - Paris X
Professeur agrégé de sciences économiques
Sénat - Commission des affaires sociales
Administrateur
IUT Le Mans - Université du Maine
Professeur agrégé de sciences économiques
Centre de Recherches économiques et Sociales
Collaborateur technique

Établissement & diplôme

Faculté de droit et de sciences économiques de Paris
DES de sciences économiques
Institut d’études politiques de Paris
Diplômé
Université Paris X
Doctorat de troisième cycle en finances publique
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Doctorat d’État de sciences économiques

Fiche n° 45595, créée le 21/03/2022 à 16:02 - MàJ le 21/03/2022 à 16:21


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©  D.R.
De H en B : Antoine Frérot, Olivier Favereau, Dominique Carlac’h, Pierre Ferraci, Marylise Léon. - ©  D.R.