IA : « Ce n’est plus une tendance émergente, mais une transformation en cours » (A. Panosyan-Bouvet)
« Les expérimentations et démonstrations réalisées à France Travail
• Établissement public à caractère administratif chargé de l’emploi en France (a remplacé Pôle emploi le 01/01/2024)• Missions :- Accueillir et accompagner toutes les personnes - qu’elles soient ou…
, en lien avec Mistral AI
• Statut : SAS
• Mission : développement de LLM pour l’exploitation d’applications en IA générative• Création : juin 2023• Cofondateurs : Arthur Mensch, Thimothée Lacroix, Guillaume Lample• Chiffre…
, illustrent un mouvement à l’œuvre dans l’économie française. L’utilisation de l’IA
Intelligence artificielle
, ce n’est plus une tendance émergente, mais une transformation en cours, qu’il convient d’accompagner activement », déclare Astrid Panosyan-Bouvet
Ministre déléguée en charge du Travail et de l’Emploi @ Ministère du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles
, ministre chargée du travail et de l’emploi, lors d’une visite au siège de France Travail le 04/02/2025.
Ce déplacement était consacré à l’annonce d’une collaboration renforcée entre l’établissement public et Mistral IA, visant à optimiser le travail des conseillers et accélérer la recherche d’emploi via l’IAG (intelligence artificielle générative).
Le ministre de l’Action publique, de la Fonction publique et de la Simplification, Laurent Marcangeli
Ministre @ Ministère de la fonction publique, de la simplification et de la transformation de l’action publique
, la ministre chargée du travail et de l’emploi, Astrid Panosyan-Bouvet, et la ministre déléguée chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique, Clara Chappaz
Ministre déléguée chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique @ Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique (Mefsin)
, présents au siège de France Travail, ont assisté à la présentation de « Match FT », nouvel outil de France Travail qui utilise l’IAG pour mettre en relation recruteurs et candidats.
Cette annonce s’inscrit dans le cadre de la Semaine pour l’action sur l’IA du 06 au 11/02/2025 et dans la perspective du Sommet pour l’action sur l’IA des 10 et 11/02/2025 à Paris.
« 9 patrons sur 10 disent que l’IA est une priorité stratégique » (Clara Chappaz)
« Le sujet de l’IA est extrêmement politique. Lorsqu’on se déplace en France, on entend souvent des citoyens et citoyennes qui ont peur de l’IA. Ils me demandent : est-ce que l’IA va me remplacer ? Est-ce que l’IA me ment ? Est-ce que l’IA va devenir plus puissante que les humains ? Toutes ces questions sont encore très présentes aujourd’hui. Quand on parle aux patrons d’entreprises, ils ont tous compris qu’il faut absolument adopter l’IA pour gagner en compétitivité : 9 sur 10 disent que l’IA est une priorité stratégique. Pourtant, quand on regarde combien d’entreprises ont vraiment commencé à utiliser l’intelligence artificielle, on tombe à peu près à 3 patrons sur 10. Il y a un écart entre les 9 qui affirment que c’est une priorité et les 3 qui ont réellement initié des actions.
En France, nous comptons 750 startups à la pointe de l’IA »Le Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle, qui débute dans quelques jours, vise à répondre à trois objectifs. D’abord, ces peurs de l’IA sont naturelles et ne sont pas une spécificité française. Il ne faut pas tomber dans l’idée que la France serait particulièrement technophobe. Ces craintes existent parce que l’IA transforme un certain nombre de métiers et de domaines de recherche. Ce matin encore, à l’Institut Gustave Roussy, des médecins utilisent l’IA pour analyser les radios et améliorer la pertinence de leurs diagnostics.
Comme toute innovation, elle soulève des questions auxquelles il faut répondre :
- Le premier objectif du sommet est de montrer en quoi l’IA peut apporter des bénéfices concrets aux Français dans leur quotidien, dans leur recherche d’emploi et dans tous les domaines de la société.
- Le deuxième objectif est de démontrer que la France n’a pas à rougir de sa position en matière d’IA. Certains mettent en avant les investissements massifs aux États-Unis ou les spécificités de l’IA chinoise, mais en France, nous comptons 750 startups à la pointe de l’IA, un écosystème soutenu depuis 2018 par une stratégie nationale, des talents reconnus à l’international, une énergie verte décarbonée pour entraîner nos modèles, et une volonté politique forte. La collaboration entre plusieurs ministères illustre cette ambition de déployer et d’accompagner l’intelligence artificielle.
- Le troisième enjeu est diplomatique. Cette technologie est profondément politique et, pour accélérer son adoption, il faut garantir des solutions alignées avec nos valeurs. Il s’agit de promouvoir une IA ouverte, accessible et encadrée par un cadre de confiance, condition essentielle pour encourager son adoption. Il est fondamental que l’IA ne soit pas exclusivement aux mains des grandes entreprises disposant de ressources considérables, mais qu’elle profite à tous, en France comme à l’international. Il est également essentiel que cette technologie ne soit pas uniquement captée par des pays ayant déjà des champions de l’IA, mais qu’elle puisse bénéficier aux pays du Sud et contribuer à leur développement. »
Clara Chappaz, ministre déléguée chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique
« Une meilleure diffusion des usages de l’IA dans les entreprises est un levier pour renforcer l’emploi et la compétitivité » (Astrid Panosyan-Bouvet)
« L’IA, c’est maintenant et c’est partout. Le message essentiel à faire passer, c’est qu’elle ne concerne pas uniquement les ingénieurs, les start-up ou les grandes entreprises. Très concrètement, un boulanger dans l’Aveyron l’utilise pour sa comptabilité. Un formateur dans un CFA du Var, spécialisé en carrosserie, y a recours. Un industriel de l’Aveyron, fournisseur de rang 1 pour Airbus, Rolls-Royce et Boeing, s’en sert pour la maintenance prédictive. Naturellement, elle est aussi adoptée par des licornes comme Mistral qui nous rendent fiers, mais également dans certains cabinets ministériels, y compris celui-ci, où elle est utilisée pour la rédaction de courriels, à l’image de ce qui a été démontré ici.
De nombreuses études mettent en avant l’impact de l’IA sur l’emploi et le travail. Les estimations varient, mais en moyenne, on parle d’une destruction d’environ 10 % des emplois au niveau mondial, avec surtout une transformation profonde de 50 % des métiers. Une étude de l’OCDE montre que les États-Unis seraient mieux placés pour capter les gains de productivité liés à l’IA parmi les pays du G7, alors que la France serait le pays qui en profiterait le moins. Cela s’explique notamment par des taux d’adoption et de diffusion de la technologie qui risqueraient d’être plus faibles et moins rapides. D’où l’importance aujourd’hui d’éduquer et d’instruire par les usages.
Chez France Travail, il faut savoir que 53 % des demandeurs d’emploi utilisent déjà l’IA sans forcément en être conscients, pour la rédaction de CV, la préparation d’entretiens, le matching avec les offres d’emploi. Les démonstrations réalisées ici montrent aussi comment l’IA peut aider à élargir les bassins de recrutement, en challengeant les candidats et les entreprises.
La question du management algorithmique est centrale »Un deuxième point essentiel concerne la diffusion des usages dans le monde du travail. Le ministère du Travail, en collaboration avec les partenaires sociaux, les branches professionnelles et les acteurs de la compétence, doit accompagner cette diffusion. Les usages varient selon les entreprises, et même au sein des différentes directions et services. Il est donc crucial d’intégrer l’IA dans la réflexion sur la stratégie des entreprises, l’évolution des métiers et des compétences, l’organisation du travail, les processus, les outils et le management.
La question du management algorithmique est centrale. Il faut replacer ces enjeux au cœur des entreprises, non pas en passant par la réglementation - un réflexe parfois trop rapide en Europe -, mais en s’appuyant sur le dialogue social. C’est ce dialogue qui doit permettre d’objectiver et d’anticiper les transformations pour ne pas les subir. Une initiative récente a d’ailleurs réuni quatre organisations syndicales pour travailler sur une boîte à outils visant à intégrer l’IA dans le dialogue social. Il serait pertinent d’organiser un déplacement dans le nord de l’Europe, où certains pays, notamment dans l’administration et les services publics, montrent comment intégrer l’IA tout en préservant une approche équilibrée du dialogue social. Une meilleure diffusion des usages de l’IA dans les entreprises est un levier pour renforcer l’emploi, la compétitivité et une prospérité partagée.
Les expérimentations et démonstrations réalisées aujourd’hui à France Travail, en lien avec Mistral, illustrent un mouvement plus large à l’œuvre dans l’économie française. Ce n’est plus une tendance émergente, mais une transformation en cours, qu’il convient d’accompagner activement. »
Astrid Panosyan-Bouvet, ministre chargée du Travail et de l’Emploi
« Nous n’avons pas à envier les modèles chinois ou américains » (Laurent Marcangeli)
« L’IA est un outil d’efficacité. Nous l’avons vu : elle permet d’offrir un service immédiat aux demandeurs d’emploi, leur permettant d’accéder rapidement au détail d’une offre et d’accélérer leur retour à l’emploi. Ce gain d’efficacité se retrouve aussi pour les conseillers. La démonstration faite par les équipes de La Roche-sur-Yon en est la preuve. On parle ici de dizaines d’heures gagnées chaque semaine, libérant du temps pour un accompagnement de qualité plutôt que pour des tâches administratives chronophages. Moins de paperasse, moins de rédaction répétitive de courriels ou d’appels téléphoniques superflus : c’est un bénéfice aussi bien pour les agents que pour les usagers.
Un autre élément clé, c’est la confiance. L’exemple de France Travail le montre déjà, mais d’autres administrations, comme la DGFIP, illustrent également cette efficacité. Grâce à l’IA, il a été possible d’identifier plus de 20 000 piscines non déclarées. L’IA compense les limites de l’œil humain et améliore la capacité d’action des pouvoirs publics, notamment dans la lutte contre la fraude.
Nous ne sommes pas dans un scénario digne de Terminator où la machine prendrait le dessus sur l’humain »Aujourd’hui, nous sommes ici pour parler de l’impact de l’IA sur les services publics. Elle représente un gain de temps et d’efficience pour les conseillers, un levier pour accélérer le retour à l’emploi, mais surtout, elle doit être perçue comme un outil au service de l’humain. Il ne s’agit pas de remplacer les agents publics, mais de les aider. L’IA n’agit pas seule : elle assiste, elle propose, mais la décision finale reste celle de l’agent. Nous ne sommes pas dans un scénario digne de Terminator où la machine prendrait le dessus sur l’humain. Au contraire, l’IA permet aux agents de se concentrer sur leur cœur de métier, d’apporter une réelle valeur ajoutée à leur travail et d’améliorer l’accompagnement des usagers.
La confiance dans l’IA est essentielle et doit être accompagnée par une montée en compétence des agents publics. Nous sommes engagés dans une compétition mondiale, où l’IA est un enjeu de souveraineté. Il est impératif que le secteur public ne reste pas isolé et s’inspire du secteur privé. La France a investi massivement dans l’IA sous l’impulsion du Président de la République, et nous devons poursuivre cet effort pour développer une intelligence artificielle à la fois made in France et européenne.
Il ne faut pas hésiter à collaborer avec le privé, notamment avec des entreprises comme Mistral. La fonction publique ne doit pas rester figée : des structures comme la DINUM (Direction interministérielle du numérique) produisent déjà des avancées majeures, mais il serait contre-productif d’ignorer les innovations issues du privé. Nous devons tirer parti des meilleures solutions disponibles, qu’elles viennent d’ici ou d’ailleurs.
Trois enjeux majeurs se dégagent. D’abord, la confiance des Français et des agents publics dans l’IA. Ensuite, la nécessité d’une coopération entre le public et le privé pour maximiser les opportunités offertes par cette technologie. Enfin, un véritable enjeu de souveraineté et de fierté nationale et européenne.
C’est dans cette optique que nous poursuivrons notre engagement. Dès demain, nous organiserons un hackathon au ministère, rue de Grenelle, où de nombreux talents vont se challenger pour imaginer les solutions de demain. Il y aura des lauréats, et ce sera une première étape vers le déploiement d’une véritable stratégie d’intelligence artificielle dans le secteur public. Le Premier ministre fera des annonces en ce sens, et nous les détaillerons pour montrer que l’État prend ce virage technologique avec ambition.
Nous n’avons pas à envier les modèles chinois ou américains. Nous sommes Français et Européens, et nous avons en France des entreprises comme Mistral qui prouvent que nous pouvons exceller dans ce domaine. Les services publics doivent être au rendez-vous et s’engager pleinement dans cette transition. Voilà le message que je voulais vous transmettre aujourd’hui. »
Laurent Marcangeli, ministre de l’Action publique, de la Fonction publique et de la Simplification
« France Travail et Mistral collaborent dans une dynamique de co-développement » (Thibaut Guilluy
Directeur général @ France Travail • Chargé de la mission de préfiguration de France Travail @ Ministère du Travail
)
L’un des enjeux majeurs réside dans l’exploitation et l’organisation des données. Pour développer des outils performants, il est essentiel de renforcer une culture de la donnée au sein des administrations et de bâtir une approche structurée à l’échelle nationale. Le secteur public français dispose d’une richesse considérable en matière de données, un atout à valoriser pleinement pour optimiser les services publics et renforcer la protection sociale.
Le programme Data & IA de France Travail comprend plusieurs innovations et initiatives en cours de développement. Parmi elles, ChatFT, qui a évolué pour s’appuyer progressivement sur les technologies de Mistral. De même, MatchFT illustre la complexité du rapprochement entre une offre d’emploi et un candidat. Contrairement aux idées reçues, faire correspondre une offre avec la bonne personne, au bon moment et dans de bonnes conditions, est un défi majeur. Un tiers des CDI ne sont pas conclus à leur terme la première année. La distance entre le domicile et le lieu de travail, la nature du contrat ou encore le secteur d’activité sont autant de paramètres qui compliquent la mise en relation. L’IA permet d’optimiser ce processus en affinant les critères et en facilitant la mise en adéquation des profils et des offres.
66 % de MatchFT repose sur la technologie Mistral, avec un objectif d’atteindre 100 % d’ici la fin de l’année »Depuis le début de l’année 2024, France Travail et Mistral co-développent cette solution. Aujourd’hui, 66 % de MatchFT repose sur la technologie Mistral, avec un objectif d’atteindre 100 % d’ici la fin de l’année. Cette démarche est encore en phase d’apprentissage, mais elle ouvre la voie à une IA au service de l’efficacité et de l’efficience.
Le choix de Mistral repose sur une volonté de partenariat équilibré. France Travail et Mistral collaborent dans une dynamique de co-développement, où chacun apprend de l’autre. Les équipes de Mistral bénéficient de l’expertise et de la diversité des cas d’usage rencontrés au quotidien par France Travail, tandis que les équipes techniques de France Travail s’appuient sur les avancées de Mistral. Ce partenariat repose aussi sur une approche pragmatique, avec un partage des coûts et des risques, garantissant une montée en compétence mutuelle.
Ce projet ne se limite pas à une ambition nationale. Il s’agit d’une initiative qui vise à renforcer la souveraineté française et européenne dans le domaine de l’intelligence artificielle. France Travail offre un formidable terrain d’expérimentation pour affiner ces technologies tout en améliorant le service aux chercheurs d’emploi. L’objectif final est clair : révéler le potentiel et les talents de chacun, en s’appuyant sur les innovations de l’IA pour faciliter le retour à l’emploi et dynamiser le marché du travail. »
Thibaut Guilluy, directeur Général de France Travail
« L’IA transformera la manière dont les demandeurs d’emploi et les travailleurs interagissent avec le monde professionnel » (Arthur Mensch
Cofondateur @ Mistral AI
)
Nos modèles de langage permettent d’être connectés aux flux d’offres et de demandes d’emploi, et d’identifier des signaux pertinents, comme le ferait un humain, afin d’optimiser la mise en relation entre les candidats et les opportunités. Cette approche révolutionne le processus de recherche et le rend plus efficace. Mais au-delà de la simple correspondance entre un CV et une offre, il reste des contraintes logistiques et contextuelles qui ne sont pas toujours visibles immédiatement. C’est là qu’interviennent les conseillers de France Travail, qui jouent un rôle essentiel dans l’accompagnement des demandeurs d’emploi. Grâce à l’IA, ces conseillers peuvent se concentrer sur ce qui apporte une réelle valeur ajoutée : l’échange humain et l’accompagnement personnalisé.
L’IA génère ainsi une véritable fluidité dans les interactions, sans jamais chercher à remplacer l’humain. Elle simplifie les processus et libère du temps pour des missions à forte valeur ajoutée. Ce partenariat nous permet de mettre cette fluidité au service de millions de demandeurs d’emploi, avec un impact direct sur la réduction du chômage. C’est une application concrète et bénéfique de l’IA, qui montre son potentiel au service de la société.
Notre démarche repose sur un co-développement. Nous avons conçu une technologie horizontale, qui s’adapte aussi bien aux usages des entreprises qu’à ceux des services publics. Que ce soit pour automatiser des tâches, optimiser la recherche d’informations ou développer des assistants intelligents, l’IA a un potentiel immense. L’enjeu est désormais d’identifier les meilleures formes d’intégration dans l’écosystème des services publics. Cela implique des défis d’interface, de connectivité aux bases de données et d’adaptation aux systèmes complexes d’information.
Un aspect fondamental est la souveraineté et la protection des données. Les informations traitées dans ce cadre sont sensibles et doivent être respectées avec rigueur. Nos méthodes de déploiement tiennent compte de ces contraintes, qui sont légitimes et nécessaires pour garantir la confiance des utilisateurs.
Ce partenariat avec France Travail n’est qu’une première étape. L’enjeu global des services publics est de faciliter l’accès des citoyens à l’information. D’autres secteurs, comme la DGFIP, pourraient bénéficier de solutions similaires, notamment pour simplifier la compréhension de certaines démarches administratives.
À l’avenir, l’intégration de l’IA ne se limitera pas aux conseillers de France Travail : elle transformera aussi la manière dont les demandeurs d’emploi et les travailleurs interagissent avec le monde professionnel. Les entreprises attendront de leurs salariés qu’ils maîtrisent ces outils et adaptent leurs méthodes de travail en conséquence. L’une des meilleures manières d’accompagner cette transition est justement d’exposer dès aujourd’hui les demandeurs d’emploi à l’IA, en leur montrant ses bénéfices concrets. En les aidant à trouver un emploi grâce à l’IA, nous les incitons aussi à s’approprier cette technologie, ce qui renforcera leurs compétences et leur employabilité dans un monde du travail en pleine transformation. »
Arthur Mensch, président directeur général de Mistral AI
Astrid Panosyan-Bouvet
Ministre déléguée en charge du Travail et de l’Emploi @ Ministère du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles
Parcours
Ministre déléguée en charge du Travail et de l’Emploi
Ministre
Députée, 4e circonscription de Paris, Commission des Affaires Sociales
Membre du Conseil de surveillance, membre du comité de développement durable et de conformité
Chief Resources Officer
Conseiller du Ministre en charge des affaires internationales, des investissements directs étrangers, de la santé et des biotechnologies et du secteur du luxe
Secrétaire générale
Établissement & diplôme
Master’s Degree
Diplômée
Fiche n° 49417, créée le 16/06/2023 à 17:41 - MàJ le 07/03/2025 à 14:59
Laurent Marcangeli
Ministre @ Ministère de la fonction publique, de la simplification et de la transformation de l’action publique
Parcours
Député de la Corse du Sud
Maire
Député de la Corse du Sud
Fiche n° 53245, créée le 16/01/2025 à 16:17 - MàJ le 05/02/2025 à 11:32
Clara Chappaz
Ministre déléguée chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique @ Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique (Mefsin)
Parcours
Ministre déléguée chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique
Secrétaire d’Etat chargée de l’IA et du numérique
Directrice
Chief business officer
Chief growth officer
Vice-présidente international
Co-fondatrice
MBA Summer consultant
Directrice régionale Asie du Sud-Est
Directrice générale Thaïlande
Vice-présidente marketing Thaïlande
Manager CRM et mobile Thaïlande
Analyste
Établissement & diplôme
Master stratégie et entrepreneuriat
Fiche n° 52588, créée le 11/10/2024 à 15:51 - MàJ le 05/02/2025 à 11:32
Parcours
Directeur général
Chargé de la mission de préfiguration de France Travail
Haut-commissaire à l’emploi et à l’engagement des entreprises
Haut-commissaire à l’inclusion dans l’emploi et à l’engagement des entreprises
Président
Président
Associé-cofondateur
Cofondateur
Directeur général
Établissement & diplôme
diplômé
Fiche n° 36323, créée le 10/09/2019 à 16:13 - MàJ le 10/03/2025 à 14:40
Parcours
Cofondateur
Senior Research Scientist
Research Scientist
Établissement & diplôme
Post-doctorant
Doctorant de philosophie, appentissage automatique
Etudiant d’ingénieur, mathématiques appliqués, informatique, mécanique, physique
Fiche n° 49797, créée le 31/08/2023 à 18:47 - MàJ le 05/02/2025 à 11:33
France Travail
• Établissement public à caractère administratif chargé de l’emploi en France (a remplacé Pôle emploi le 01/01/2024)
• Missions :
- Accueillir et accompagner toutes les personnes - qu’elles soient ou non déjà en poste - dans la recherche d’un emploi, d’une formation, d’un conseil professionnel, d’une aide à la mobilité ou à l’insertion sociale et professionnelle
- Prospecter et mettre en relation les entreprises avec les demandeurs
- Contrôler la recherche d’emploi en France
- Indemniser les ayants-droit pour le compte de l’organisme gestionnaire du régime d’assurance chômage et pour le compte de l’État
- Maîtriser les données relatives au marché du travail et à l’indemnisation des demandeurs d’emploi
- Relayer les politiques publiques
- Coopérer avec les autres acteurs de l’emploi, de l’insertion et de la formation réunis au sein du Réseau pour l’emploi
• Implantations : près de 900 agences et relais de proximité ainsi qu’un réseau de partenaires sur l’ensemble du territoire
• Effectif : 55 000 collaborateurs
• Directeur général : Thibaut Guilluy
• Directeur général délégué : Paul Bazin
• Président du CA : Alexandre Saubot, président de France Industrie
• Vice-présidents : Patricia Ferrand (CFDT) et Hubert Mongon (Medef)
• Directrice de la Communication : Pauline Calmès
• Contact presse : Valérie Sebalj
• Tél. : 06 27 20 79 70
Catégorie : Etat
Adresse du siège
1-5 avenue du Docteur Gley75020 Paris France
Fiche n° 5645, créée le 01/09/2017 à 17:25 - MàJ le 14/03/2025 à 14:50